Le "Water-Closet Gate" au Championnat du monde d'échecs
Selon la devise des échecs ("Gens una sumus", qui signifie plus ou moins, je crois, "nous appartenons à la même famille, ou communauté"), ce championnat était celui "de la réconciliation" entre les deux fédérations, représentées par chacun des deux adversaires, Kramnik et Topalov. Il a pourtant tourné au "Water-Closet Gate", comme le titrait le journal Le Monde.
Certains amis joueurs d'échecs ont donc suivi ce championnat avec des palpitations.
Ca a commencé par des aller-retours très fréquents de Kramnik aux toilettes. Topalov, irrité par l'incontinence de son adversaire et surtout par ses défaites lors de plusieurs parties, annonça _ ou plutôt, son coach annonça (coach qui semblerait être l'éminence grise de Topalov et l'origine du drame) _ qu'il soupçonnnait Kramnik de tricher aux toilettes. Outré, Kramnik refuse de jouer la partie suivante, qui est alors attribuée à Topalov, par "forfait" de son adversaire. (sainte indignation de mes amis joueurs d'échecs. Sans vouloir être mauvaise langue, l'arbitre était dans la fédération de Topalov...).
Kramnik perdit ensuite une ou plusieurs parties, probablement déconcentré (Tu penses !... on le serait à moins ..., disent mes amis joueur d'échecs) par des accusations qui n'avaient apparemment rien de fondé, puisque ses absences étaient dues à un problème de santé.
Mais, (soulagement de mes amis joueurs d'échecs), Kramnik l'a finalement emporté, de peu certes, mais quand même, il y a une justice en ce bas monde, (disent mes amis joueurs d'échecs.)
THE END
(Nota Bene (= note bien) : la phrase en orange est très importante, comme vous avez pu le constater à son enluminure particulière, car c'est un CQFD)